Une des manœuvres dilatoires de plus du président de la FFRIM se voit mise à terre grâce à des nombreuses preuves irréfutables ; en effet suite à la double plainte conduite par son principal bouc émissaire ( le soit disant président de la Concorde prise en otage par la FFRIM), auprès du Procureur de la République et du juge d’instruction successivement placée sans suite par le premier et un non lieu pour le second.
Cette ultime tentative de manipulation judiciaire de la FFRIM consistait en la création d’une zizanie par l’usurpation de titre au sein de la Concorde.
Les dirigeants légitimes de la Concorde se voient ainsi fortifier par les instances judiciaires qui ont compris que toute l’argumentation de la FFRIM reposait sur une structure illégale dénommée « comité de Normalisation » qui se devait de masquer le détournement des 75 000 euros issus du transfert et d’écarter les dirigeants légitimes de l’Asac Concorde.
En réalité, ce fameux comité de normalisation a été triplement rejeté : d’abord par le président légitime de la concorde le Dr Ba Mouhamadou le 5 Septembre 2016 puis par les membres choisis de manière unilatérale par la FFRIM (4 sur 6 l’ont rejeté par un acte notarié le 2 novembre 2016) et enfin par la justice mauritanienne depuis le 14 novembre 2016.
Une fois de plus l’ASAC CONCORDE via son président demande la démission sans condition du président de la FFRIM qui a orchestré le détournement des 75 000 euros : affaire jugée et confirmée par la cour suprême depuis le 14 juillet 2020 et qui s’est immiscée dans l’organisation interne de la Concorde.
Rappelons enfin que ces délits seront bientôt sévèrement punis par les plus hautes instances du football mondial notamment la FIFA qui n’interdit guère de porter une affaire civile au tribunal ordinaire pour deux associations soumises à la même loi nationale.
Source : ASAC Concorde