Le théâtre pour prévenir les déviations

En avril dernier, la clinique théâtrale du quartier Tarhil dans la périphérie de Nouakchott, avec l’appui du projet Semaha, a formé 70 jeunes hommes et femmes. La formation a porté sur les techniques du théâtre comme moyen de thérapie et de prévention de certaines déviations comme la consommation de stupéfiants, la radicalisation, le discours de haine…

La formation a été assurée par un psychologue et deux spécialistes du théâtre.

« L’art en général et le théâtre en particulier est l’un des meilleurs moyens pour amener les jeunes à prendre conscience de la gravité et des risques liés aux discours de haine », a déclaré Taki Abdelhaye, responsable de la Maison du Théâtre.

Il s’agit, à travers cet art, «d’induire des changements de comportements en amenant les jeunes à s’intéresser au théâtre et à en faire un moyen de lutte contre la délinquance, les stupéfiant, les discours de haines et autres maux tels que le racisme, les stéréotypes, etc.»

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