16 membres de la société civile ont été formés début mars sur les mécanismes de prévention et de gestion des conflits. L’atelier s’est tenu à Nouakchott dans le cadre du projet REcAP, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par le Réseau ouest-africain pour la consolidation de la paix (WANEP), le Conseil danois pour les réfugiés (DRC) et l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI).
Le formateur, M. Pathé Dièye, coordonnateur régional de la recherche sur la consolidation de la paix a présenté le projet REcAP.
M. Dièye a mis l’accent sur l’expérience immersive. Une approche qui selon lui offre aux participants une opportunité précieuse d’apprentissage.
Durant quatre jours intenses, les participants ont été engagés dans un programme varié comprenant des exercices interactifs et des discussions basées sur des exemples concrets de conflits réels.
Une métaphore puissante a été utilisée pour illustrer la complexité des conflits : celle de l’iceberg. Selon cette analogie, les problèmes visibles à la surface ne représentent que la partie émergée de l’iceberg, soulignant ainsi l’importance de creuser profondément pour identifier les véritables causes des conflits.
Mme Hawa Diaw, l’une des participantes, a exprimé son appréciation pour l’approche de l’atelier : « La formation était vraiment différente des autres. J’ai beaucoup aimé l’aspect pratique, mais surtout la participation de tout un chacun.»
La séance de clôture de l’atelier a été marquée par la remise d’attestations aux participants, suivie d’une séance photo.
Kadia DIAW
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