Le paradoxe mauritanien : Après le déluge, la soif au Guidimakha*

Paradoxe, le Guidimakha, maintes fois inondé, se retrouve en pénurie : « On doit, dans cette partie du pays, opter pour la technique de ralentissement des cours d’eaux et créer des bassins de rétention d’eaux (maitrise d’eaux de surface), des solutions pour atténuer les effets de la sécheresse et recharger les nappes phréatiques. Les barrages, à cause de la géographie et de la nature du sol de la région, ne sont pas toujours rentables », soutient l’hydraulicien.